Nicolas Bourriaud, directeur de l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, a fait diffuser une note aux étudiants et au personnel de l’école le 2 octobre au soir. Cette lettre informait de la fermeture de l’hôtel de Chimay le 4, 8 et 9 octobre, pour l’organisation d’un événement privé Ralph Lauren, à laquelle s'ajoutaient de fortes perturbations le 7 octobre, et la fermeture de toute l'école le weekend apparement en raison d'un problème informatique.
Cette fermeture concernait 14 ateliers soit 16 professeur(e)s et plusieurs centaines d’élèves : plus de la moitié des étudiants de l’école devait être privée de son espace de travail pendant 5 jours, en pleine période de rentrée et de préparation des diplômes.
En réaction à la soudaineté de cette fermeture et à ses conséquences sur la vie de l'école, les étudiants se sont massivement mobilisés.
CHRONOLOGIE DE LA MOBILISATION
VENDREDI 4 OCTOBRE :
10h : Les étudiants manifestent et occupent la cour de l’hôtel de Chimay. Accrochage de banderoles et affiches.
12h : Sur décision des chefs de chantier, arrêt du chantier.
13h : Tanguy Grard, responsable de la communication aux Beaux-Arts, propose une réunion à 15h30. Il est convenu que tous les étudiants et personnes désirant s’instruire de la situation se retrouvent dans l’amphithéâtre d’honneur en présence de responsables de l’administration.
13h-15h30 : Assemblée générale des étudiants, concertation et vote de revendications. Un texte est écrit collectivement sur la base des décisions prises en assemblée générale.
15h30 : Réunion à l’amphithéâtre d’honneur [une transcription intégrale est disponible sur ce blog]. Sont présents des étudiants, des professeurs, des représentants syndicaux et des représentants de l’administration : Carole Cröenne, Tanguy Grard et Thierry Jopeck.
Un porte-parole désigné lit le texte de revendications.
A la fin de la réunion, les revendications suivantes ont reçu réponse positive :
- ouverture de l’école le weekend du 5 et 6 octobre
- accès à l’hôtel de Chimay vendredi 4 et mardi 8 octobre
- réunion ouverte lundi 7 octobre à 14h avec Nicolas Bourriaud portant sur l’ordre du jour revendiqué
- réunion ouverte jeudi 10 octobre, avec des membres de la direction, portant sur la présentation intégrale des projets de rénovation, de mise aux normes handicapés, et des conséquences qu’ils porteront sur la vie scolaire.
Concernant les autres revendications, l’hôtel de Chimay reste fermé mercredi et les étudiants sont toujours dans l’attente d’une lettre du directeur qui garantit à l’avenir la non-occupation des espaces pédagogiques pendant les horaires d’ouverture réguliers.
17h : Après la réunion, retour à la cour de l’hôtel de Chimay, nouvelle assemblée générale des étudiants, mise au point, organisation de la suite de l’action.
18h : Des responsables de Ralph Lauren demandent l’enlèvement des banderoles citant nominativement la marque. Les étudiants accèdent à cette demande.
Une nouvelle négociation est amorcée entre les étudiants, M. Jopeck directeur administratif, Fabienne Grolière responsable du mécénat, et des responsables Ralph Lauren, portant sur l'enlèvement de toutes les autres banderoles. Les étudiants déclarent qu’ils sont en négociations avec l’administration afin d’obtenir une lettre du directeur et qu’ils n’enlèveront les banderoles qu’à partir du moment où ils l’auront reçu et qu’en aucun cas ils ne veulent directement négocier quoi que ce soit avec Ralph Lauren.
19h : En déplacement, le directeur appelle les étudiants. Les revendications lui sont énoncées de vive-voix. Ils demandent au directeur la rédaction d’un texte qui l’engage à garantir intégralement :
« L’accès complet et l’intégrité des espaces de travail pendant les horaires réguliers d’ouverture de l‘école y compris les week-ends et les vacances scolaires. Tous ces espaces, ateliers de pratiques artistiques, ateliers et bases techniques, galeries (quand elles sont réservées par des étudiants ou des professeurs), médiathèque, amphithéâtres, de manière générale et définitive ne doivent plus être occupés ni réquisitionnés sous aucun prétexte d’ordre non pédagogique et pour des événements privés. »
Si cette lettre est diffusée, les étudiants s’engagent à enlever toutes les banderoles.
20h : Pour des raisons pratiques le directeur ne peut pas rédiger cette lettre avant le lendemain. Déclaration officielle de Thierry Jopeck engageant Nicolas Bourriaud à répondre positivement à l’ensemble des revendications qui lui ont été exprimées, à écrire une lettre reprenant tous les éléments du paragraphe cité précédemment dés le lendemain, et à rencontrer tous les étudiants et le personnel lundi 7 octobre à 14h.
Dès réception du mail de Thierrry Jopeck, les banderoles sont retirées.
SAMEDI 5 OCTOBRE :
Toute la journée des étudiants d’une quinzaine d’ateliers différents sont réunis à l’atelier Alberola dans l’attente de la lettre du directeur et communiquent autour de l’événement auprès de l’ensemble des acteurs de l’école.
16h : Le directeur envoie la lettre à l’un des étudiants mobilisés. Lecture de la lettre. Les étudiants décident que, bien qu'allant clairement dans le sens des revendications, cette lettre n'est pas conforme à l’accord de la veille car elle ne reprend pas tout les éléments du paragraphe figurant dans le mail de Thierry Jopeck.
20h : Un responsable du chantier apprend aux étudiants présents à l’école, que le soir du lundi 7 octobre, dans les ateliers Rielly, Alberola, Pataut/Faigenbaum, Janssens, Paris/Brown, des ouvriers ont pour mission de rendre disponible un espace de deux mètres voir plus autour de chaque fenêtre. Ceci dans le but d’installer un système complexe d’éclairage et impliquant le déplacement des œuvres et affaires se trouvant dans ce périmètre. Le responsable du chantier apprend aussi aux étudiants que cette information était en possession de l’administration depuis plusieurs jours et qu’il leur avait explicitement demandé d’en faire part à tous lors de la réunion ouverte du vendredi. Loin d'accéder à cette demande, l'administration aurait dit aux responsables du chantier de ne pas en parler aux étudiants.
Les étudiants sont contraints dans l'urgence de s'occuper eux-mêmes d'organiser cette opération.
23h40 : L’administration diffuse la lettre du directeur, qui répond aux revendications des étudiants.
DIMANCHE 6 OCTOBRE :
A nouveau, de nombreux étudiants se réunissent afin de préparer la réunion de lundi avec le directeur, de mettre en place un blog d’information et de diffuser une pétition [lien vers la pétition sur ce blog].
LUNDI 7 OCTOBRE :
14h-15h30 : Réunion ouverte dans l’amphithéâtre d'honneur en présence d'étudiants, de professeurs, de membres du personnel et de l'administration, et du directeur [vidéos de la réunion disponibles sur ce blog].
Un porte-parole du mouvement lit un texte rédigé collectivement qui réaffirme la position et les exigences des étudiants mobilisés et retrace une chronologie des événements. S'en suit une discussion ouverte avec le directeur, où il revient sur l'événement Ralph Lauren. Il réaffirme son engagement à garantir l'intégrité et l’accessibilité des espaces pédagogiques, et s'engage entre autres à faire évoluer les modes de représentation des étudiants dans les différentes instances et la communication dans l'école, en accédant notamment à la demande de création d'assemblées générales mensuelles ouvertes à tous les acteurs de l'école.
Il est convenu que le projet de restaurant dans l'atelier Vilmouth sera discuté jeudi 10 octobre à la réunion de 14 h en même temps que des travaux de mise aux normes handicapés.
MARDI 8 OCTOBRE :
Les étudiants se réunissent et commencent à travailler à la préparation de la nouvelle réunion de jeudi avec le directeur. Des groupes se forment en fonction des différents points de l'ordre du jour définit avec les délégués étudiants.
MERCREDI 9 OCTOBRE :
Les étudiants préparent la réunion du lendemain. Une assemblée générale est organisée dans l’amphithéâtre d'honneur à 18 h. Une cinquantaine d'étudiants se concertent et s'accordent, notamment sur l'argumentaire contre le projet de restaurant dans l'atelier Vimouth. Deux arguments majeurs émergent: défense d'un des meilleurs espaces de travail de l'école, et refus de voir apparaître un établissement privé et conventionné à la place de la cafétéria que réclament les étudiants depuis des années.
JEUDI 10 OCTOBRE :
Les étudiants rédigent collectivement plusieurs textes sur la base de l'argumentaire définit la veille.
14 h : Réunion ouverte dans l’amphithéâtre d'honneur en présence d'étudiants, de professeurs, de membres du personnel et de l'administration, du directeur administratif, M. Jopeck, et du directeur de l'école, M. Bourriaud.
L'ordre du jour est le suivant:
1. Convenir rapidement d’une réunion ouverte pour concrétiser l'engagement pris par le directeur à faire évoluer la représentation des étudiants dans l’école.
2. Le projet restaurant dans l'Atelier Vilmouth.
3. Discuter de la réhabilitation des horaires du site Malaquais et de l'accessibilité du site Saint-Ouen.
4. Fonctionnement des galeries du palais des études, de leur accessibilité, et de leur disponibilité pour les élèves. Informations sur la rénovation des galeries.
5. Présentation complète des projets de développement ainsi que les divers plans d’aménagements, de rénovations et de travaux prévus pour 2014 et toutes les perturbations qui en découleront.
6. Éclaircie sur la réouverture de la médiathèque et proposition d’une solution rapide pour palier à l’inaccessibilité complète des salles de lectures aux étudiants.
La réunion aboutit aux décisions suivantes:
- Il est convenu qu'une réunion ouverte à tous les acteurs de l'école aurait lieu avant le conseil pédagogique et le conseil d'administration, fin-octobre/début-novembre.
- Au terme d'une discussion sur l'ouverture d'un restaurant dans l'atelier Vilmouth, l'assemblée vote à l'unanimité contre le projet. Le directeur acte l'annulation du projet.
- Les anciens horaires du site Malaquais sont rétablis (accès à l'école jusqu'à 22h). Ces horaires seront mis en application rapidement. Il est convenu que l'accessibilité du site Saint-Ouen doit évoluer.
- Le fonctionnement des galeries du palais des études et leur disponibilité doivent être revus à la prochaine réunion.
- Une chronologie des travaux de mise aux normes handicapés est présentée [Un récapitulatif sera communiqué ultérieurement].
Aucun atelier ne devrait être fermé; de fortes perturbations sonores sont à prévoir dans l'atelier Gauthier.
- La question de la médiathèque n'est pas abordée, étant donné qu'un mail annonçant la réouverture a été envoyé la veille par un responsable de la médiathèque à toute l'école.
VENDREDI 4 OCTOBRE :
10h : Les étudiants manifestent et occupent la cour de l’hôtel de Chimay. Accrochage de banderoles et affiches.
12h : Sur décision des chefs de chantier, arrêt du chantier.
13h : Tanguy Grard, responsable de la communication aux Beaux-Arts, propose une réunion à 15h30. Il est convenu que tous les étudiants et personnes désirant s’instruire de la situation se retrouvent dans l’amphithéâtre d’honneur en présence de responsables de l’administration.
13h-15h30 : Assemblée générale des étudiants, concertation et vote de revendications. Un texte est écrit collectivement sur la base des décisions prises en assemblée générale.
15h30 : Réunion à l’amphithéâtre d’honneur [une transcription intégrale est disponible sur ce blog]. Sont présents des étudiants, des professeurs, des représentants syndicaux et des représentants de l’administration : Carole Cröenne, Tanguy Grard et Thierry Jopeck.
Un porte-parole désigné lit le texte de revendications.
A la fin de la réunion, les revendications suivantes ont reçu réponse positive :
- ouverture de l’école le weekend du 5 et 6 octobre
- accès à l’hôtel de Chimay vendredi 4 et mardi 8 octobre
- réunion ouverte lundi 7 octobre à 14h avec Nicolas Bourriaud portant sur l’ordre du jour revendiqué
- réunion ouverte jeudi 10 octobre, avec des membres de la direction, portant sur la présentation intégrale des projets de rénovation, de mise aux normes handicapés, et des conséquences qu’ils porteront sur la vie scolaire.
Concernant les autres revendications, l’hôtel de Chimay reste fermé mercredi et les étudiants sont toujours dans l’attente d’une lettre du directeur qui garantit à l’avenir la non-occupation des espaces pédagogiques pendant les horaires d’ouverture réguliers.
17h : Après la réunion, retour à la cour de l’hôtel de Chimay, nouvelle assemblée générale des étudiants, mise au point, organisation de la suite de l’action.
18h : Des responsables de Ralph Lauren demandent l’enlèvement des banderoles citant nominativement la marque. Les étudiants accèdent à cette demande.
Une nouvelle négociation est amorcée entre les étudiants, M. Jopeck directeur administratif, Fabienne Grolière responsable du mécénat, et des responsables Ralph Lauren, portant sur l'enlèvement de toutes les autres banderoles. Les étudiants déclarent qu’ils sont en négociations avec l’administration afin d’obtenir une lettre du directeur et qu’ils n’enlèveront les banderoles qu’à partir du moment où ils l’auront reçu et qu’en aucun cas ils ne veulent directement négocier quoi que ce soit avec Ralph Lauren.
19h : En déplacement, le directeur appelle les étudiants. Les revendications lui sont énoncées de vive-voix. Ils demandent au directeur la rédaction d’un texte qui l’engage à garantir intégralement :
« L’accès complet et l’intégrité des espaces de travail pendant les horaires réguliers d’ouverture de l‘école y compris les week-ends et les vacances scolaires. Tous ces espaces, ateliers de pratiques artistiques, ateliers et bases techniques, galeries (quand elles sont réservées par des étudiants ou des professeurs), médiathèque, amphithéâtres, de manière générale et définitive ne doivent plus être occupés ni réquisitionnés sous aucun prétexte d’ordre non pédagogique et pour des événements privés. »
Si cette lettre est diffusée, les étudiants s’engagent à enlever toutes les banderoles.
20h : Pour des raisons pratiques le directeur ne peut pas rédiger cette lettre avant le lendemain. Déclaration officielle de Thierry Jopeck engageant Nicolas Bourriaud à répondre positivement à l’ensemble des revendications qui lui ont été exprimées, à écrire une lettre reprenant tous les éléments du paragraphe cité précédemment dés le lendemain, et à rencontrer tous les étudiants et le personnel lundi 7 octobre à 14h.
Dès réception du mail de Thierrry Jopeck, les banderoles sont retirées.
SAMEDI 5 OCTOBRE :
Toute la journée des étudiants d’une quinzaine d’ateliers différents sont réunis à l’atelier Alberola dans l’attente de la lettre du directeur et communiquent autour de l’événement auprès de l’ensemble des acteurs de l’école.
16h : Le directeur envoie la lettre à l’un des étudiants mobilisés. Lecture de la lettre. Les étudiants décident que, bien qu'allant clairement dans le sens des revendications, cette lettre n'est pas conforme à l’accord de la veille car elle ne reprend pas tout les éléments du paragraphe figurant dans le mail de Thierry Jopeck.
20h : Un responsable du chantier apprend aux étudiants présents à l’école, que le soir du lundi 7 octobre, dans les ateliers Rielly, Alberola, Pataut/Faigenbaum, Janssens, Paris/Brown, des ouvriers ont pour mission de rendre disponible un espace de deux mètres voir plus autour de chaque fenêtre. Ceci dans le but d’installer un système complexe d’éclairage et impliquant le déplacement des œuvres et affaires se trouvant dans ce périmètre. Le responsable du chantier apprend aussi aux étudiants que cette information était en possession de l’administration depuis plusieurs jours et qu’il leur avait explicitement demandé d’en faire part à tous lors de la réunion ouverte du vendredi. Loin d'accéder à cette demande, l'administration aurait dit aux responsables du chantier de ne pas en parler aux étudiants.
Les étudiants sont contraints dans l'urgence de s'occuper eux-mêmes d'organiser cette opération.
23h40 : L’administration diffuse la lettre du directeur, qui répond aux revendications des étudiants.
DIMANCHE 6 OCTOBRE :
A nouveau, de nombreux étudiants se réunissent afin de préparer la réunion de lundi avec le directeur, de mettre en place un blog d’information et de diffuser une pétition [lien vers la pétition sur ce blog].
LUNDI 7 OCTOBRE :
14h-15h30 : Réunion ouverte dans l’amphithéâtre d'honneur en présence d'étudiants, de professeurs, de membres du personnel et de l'administration, et du directeur [vidéos de la réunion disponibles sur ce blog].
Un porte-parole du mouvement lit un texte rédigé collectivement qui réaffirme la position et les exigences des étudiants mobilisés et retrace une chronologie des événements. S'en suit une discussion ouverte avec le directeur, où il revient sur l'événement Ralph Lauren. Il réaffirme son engagement à garantir l'intégrité et l’accessibilité des espaces pédagogiques, et s'engage entre autres à faire évoluer les modes de représentation des étudiants dans les différentes instances et la communication dans l'école, en accédant notamment à la demande de création d'assemblées générales mensuelles ouvertes à tous les acteurs de l'école.
Il est convenu que le projet de restaurant dans l'atelier Vilmouth sera discuté jeudi 10 octobre à la réunion de 14 h en même temps que des travaux de mise aux normes handicapés.
MARDI 8 OCTOBRE :
Les étudiants se réunissent et commencent à travailler à la préparation de la nouvelle réunion de jeudi avec le directeur. Des groupes se forment en fonction des différents points de l'ordre du jour définit avec les délégués étudiants.
MERCREDI 9 OCTOBRE :
Les étudiants préparent la réunion du lendemain. Une assemblée générale est organisée dans l’amphithéâtre d'honneur à 18 h. Une cinquantaine d'étudiants se concertent et s'accordent, notamment sur l'argumentaire contre le projet de restaurant dans l'atelier Vimouth. Deux arguments majeurs émergent: défense d'un des meilleurs espaces de travail de l'école, et refus de voir apparaître un établissement privé et conventionné à la place de la cafétéria que réclament les étudiants depuis des années.
JEUDI 10 OCTOBRE :
Les étudiants rédigent collectivement plusieurs textes sur la base de l'argumentaire définit la veille.
14 h : Réunion ouverte dans l’amphithéâtre d'honneur en présence d'étudiants, de professeurs, de membres du personnel et de l'administration, du directeur administratif, M. Jopeck, et du directeur de l'école, M. Bourriaud.
L'ordre du jour est le suivant:
1. Convenir rapidement d’une réunion ouverte pour concrétiser l'engagement pris par le directeur à faire évoluer la représentation des étudiants dans l’école.
2. Le projet restaurant dans l'Atelier Vilmouth.
3. Discuter de la réhabilitation des horaires du site Malaquais et de l'accessibilité du site Saint-Ouen.
4. Fonctionnement des galeries du palais des études, de leur accessibilité, et de leur disponibilité pour les élèves. Informations sur la rénovation des galeries.
5. Présentation complète des projets de développement ainsi que les divers plans d’aménagements, de rénovations et de travaux prévus pour 2014 et toutes les perturbations qui en découleront.
6. Éclaircie sur la réouverture de la médiathèque et proposition d’une solution rapide pour palier à l’inaccessibilité complète des salles de lectures aux étudiants.
La réunion aboutit aux décisions suivantes:
- Il est convenu qu'une réunion ouverte à tous les acteurs de l'école aurait lieu avant le conseil pédagogique et le conseil d'administration, fin-octobre/début-novembre.
- Au terme d'une discussion sur l'ouverture d'un restaurant dans l'atelier Vilmouth, l'assemblée vote à l'unanimité contre le projet. Le directeur acte l'annulation du projet.
- Les anciens horaires du site Malaquais sont rétablis (accès à l'école jusqu'à 22h). Ces horaires seront mis en application rapidement. Il est convenu que l'accessibilité du site Saint-Ouen doit évoluer.
- Le fonctionnement des galeries du palais des études et leur disponibilité doivent être revus à la prochaine réunion.
- Une chronologie des travaux de mise aux normes handicapés est présentée [Un récapitulatif sera communiqué ultérieurement].
Aucun atelier ne devrait être fermé; de fortes perturbations sonores sont à prévoir dans l'atelier Gauthier.
- La question de la médiathèque n'est pas abordée, étant donné qu'un mail annonçant la réouverture a été envoyé la veille par un responsable de la médiathèque à toute l'école.